La seule bonne nouvelle est qu’il y a un décalage horaire entre Biélorussie et Pologne, on gagne une heure. Synchronisation des montres, on se pose pour discuter : « Est-ce qu’on tente le show à Prague : rouler non-stop pendant 12h et arriver bien en retard, ou est-ce qu’on roule peinard direction la France en annulant Prague ? ». Quelque chose comme 20 secondes de réflexion plus tard, on décide de rouler comme des cons.
Chose faite, nous voici à Prague, il est 20h30, le concert commence dans 10 minutes. On rencontre Radek, le promoteur, un adorable grand gaillard. Le premier groupe Sliver attaque. Ce sont des belges/luxembourgeois, on parle français, ça fait bizarre. Après eux on s’installe et on envoie, un peu assommé par les 21h de camion. Mais le concert se passe bien, on garde quand même la pêche, il n’y a pas grand monde mais ça répond bien. On passe un sacré bon moment, on est triste que ce soit fini. Rob Moir, un song writer canadien enchaine, guitare acoustique et sacrée belle voix, ça passe crème !
Radek nous offre à manger, à boire, on blablate un bon moment avant que sonne minuit et l’heure de prendre la route pour que, demain après-midi, chacun d’entre nous soit dans l’isoloir pour voter le moins pire des clowns…
La route se passe plutôt bien, autoroute du début à la fin, relai conducteur/co-pilote. A la douane suisse, ils hésitent encore à nous fouiller, puis finalement nous laisse passer.
MacDonald à 9h30 du matin, record battu, on arrive chez nous, à 12h.On décharge le matos, ça rigole, mais ça sent la fin et la tristesse.
Ces dernières 48h auront été 38h de camion et donc 10h de "stop" (10h étant, en fait, 2x 5h de stop pour 2 concerts : Brest et Prague). Pas mal.
On est donc à moitié content d’être à la maison. Câlins et au revoir. Le seul côté encourageant, c’est qu’on joue 2 jours plus tard à Chambéry, et donc qu'on se revoit presque tous assez vite.
Chose faite, nous voici à Prague, il est 20h30, le concert commence dans 10 minutes. On rencontre Radek, le promoteur, un adorable grand gaillard. Le premier groupe Sliver attaque. Ce sont des belges/luxembourgeois, on parle français, ça fait bizarre. Après eux on s’installe et on envoie, un peu assommé par les 21h de camion. Mais le concert se passe bien, on garde quand même la pêche, il n’y a pas grand monde mais ça répond bien. On passe un sacré bon moment, on est triste que ce soit fini. Rob Moir, un song writer canadien enchaine, guitare acoustique et sacrée belle voix, ça passe crème !
Radek nous offre à manger, à boire, on blablate un bon moment avant que sonne minuit et l’heure de prendre la route pour que, demain après-midi, chacun d’entre nous soit dans l’isoloir pour voter le moins pire des clowns…
La route se passe plutôt bien, autoroute du début à la fin, relai conducteur/co-pilote. A la douane suisse, ils hésitent encore à nous fouiller, puis finalement nous laisse passer.
MacDonald à 9h30 du matin, record battu, on arrive chez nous, à 12h.On décharge le matos, ça rigole, mais ça sent la fin et la tristesse.
Ces dernières 48h auront été 38h de camion et donc 10h de "stop" (10h étant, en fait, 2x 5h de stop pour 2 concerts : Brest et Prague). Pas mal.
On est donc à moitié content d’être à la maison. Câlins et au revoir. Le seul côté encourageant, c’est qu’on joue 2 jours plus tard à Chambéry, et donc qu'on se revoit presque tous assez vite.





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